JPO 2023 : rendez-vous avec ton avenir professionnel !

Les Centres de Formation de l’URMA Pays de la Loire organisent leurs Journées Portes Ouvertes le samedi 4 février 2023 de 9h00 à 17h00, et en nocturne le vendredi 3 février de 17h00 à 20h00 à Angers et La Roche-sur-Yon ! Alimentation, mécanique, restauration, coiffure/esthétique, fleuristerie, bâtiment, santé, métiers d’art, gestion, commerce/vente, quel que soit le projet professionnel qui vous anime, rendez-vous à Sainte-Luce-sur-Loire, Saint-Nazaire, Angers, Laval, Le Mans et La Roche-sur-Yon pour découvrir les formations et diplômes proposés dans chacun de ces établissements !

5 Centres de Formation Professionnelle

Nos 6 sites de formation sont ravis de pouvoir vous accueillir pendant les Journée Portes Ouvertes du samedi 4 février (et en nocturne le vendredi 3 février). Discussions avec nos équipes pédagogiques, des apprentis et des maîtres d’apprentissage, visites de nos plateaux techniques, découverte de la vie de nos établissements… N’attendez pas pour obtenir toutes les informations dont vous avez besoin pour construire votre avenir.

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“Pour nous une porte doit toujours rester ouverte.”

  • URMA LOIRE-ATLANTIQUE
    Secteurs : Alimentation – Restauration – Métiers d’Art – Tertiaire – Mécanique/Carrosserie
    Site Sainte-Luce-sur-Loire : 02 40 18 96 96
    [email protected]
    Site Saint-Nazaire : 02 28 54 17 01
    [email protected]
  • URMA MAINE-ET-LOIRE
    Secteurs : Alimentation – Fleuristerie – Mécanique/Carrosserie – Vente
    02 41 22 61 56
    [email protected]
  • URMA MAYENNE
    Secteurs : Alimentation – Restauration – Mécanique – Coiffure/Esthétique – Santé – Bâtiment – Commerce
    02 43 64 88 55
    [email protected]
  • URMA SARTHE
    Secteurs : Alimentation – Fleuristerie – Vente en fruits et légumes
    02 43 50 13 70
    [email protected]
  • URMA VENDÉE
    Secteurs : Alimentation – Mécanique/carrosserie – Tertiaire – Coiffure/Esthétique – Commerce – Vente
    02 51 36 53 00
    [email protected]

Retrouvez sur www.urmapaysdelaloire.fr toute l’offre de formation en alternance de l’URMA Pays de la Loire.

Technicien confirmé motocycle : en route vers la réussite !

Pourquoi parler de voie de garage alors qu’il y a tant de métiers à l’intérieur ? Parce qu’il n’y a pas que l’automobile pour s’y épanouir, les amoureux de motos et de la grande famille des cycles motorisés sont ravis d’y assouvir leur passion. Vous avez envie de mettre les mains dans le cambouis ? Alors enfourchez votre monture et lisez la suite !

Toujours au taquet
Pour la grande majorité des gens, un garage est lié à l’univers automobile. Cependant, certains sont spécialisés dans d’autres objets motorisés comme les motos ou les scooters. En effet, ces engins sont toujours plus populaires et ont également besoin d’être entretenus pour fonctionner correctement. Et c’est là qu’intervient le technicien confirmé motocycle. Celui-ci pose un diagnostic et opère sur les organes de transmission, le circuit électrique, le moteur, etc. En bref, il détermine la source de la panne pour mieux la résoudre. 

Pousser la roue
Entre les réparations et les révisions à effectuer, le technicien confirmé motocycle occupe une place centrale dans un garage spécialisé. Et ce professionnel a besoin de nombreuses connaissances pour pratiquer son métier. Mécanique, électricité, électronique… L’innovation des constructeurs lui demande de mettre à jour ses compétences régulièrement, voire de se spécialiser. En plus d’une maîtrise certaine des outils et des technologies, le technicien doit être doté de très bonnes capacités d’analyse, de réflexion et d’observation. Si vous souhaitez emprunter cette voie, c’est votre rigueur, votre habileté et votre rapidité d’exécution qui vous permettront d’exceller. 

Piloter son avenir
Dans beaucoup de secteurs, la course à l’avancement est très difficile… Mais ce n’est pas le cas pour un technicien confirmé motocycle qui aime son métier. D’ailleurs, le secteur recherche toujours des jeunes passionnés à former. Avec quelques années d’expérience, ces derniers peuvent rapidement devenir chef d’atelier, voire même ouvrir leur propre concession.

Découvrez le CQP Technicien Confirmé Motocycle de notre Centre de Formation situé à Sainte-Luce-sur-Loire. Rendez-vous sur www.urmapaysdelaloire.fr pour tout savoir.

Poissonnier : cap vers votre avenir

Alors que certains restent enfermés dans leur bureau toute la journée, d’autres décident de prendre le large ! Avec le métier de poissonnier, vous allez adorer céder à l’appel de la mer. Si vous aimez cette denrée si délicate et savoureuse, ce sera un vrai plaisir que de l’offrir à vos clients. Lisez la suite pour tout savoir.

Un vrai loup de mer
Poissons, crustacés, mais aussi coquillages… Spécialiste des produits de la mer, le poissonnier achète ses produits à la criée s’il est proche du littoral ou auprès de groupements de producteurs. Il transforme ensuite sa marchandise avant de la disposer dans ses étals et de la vendre à ses clients. Cet artisan peut travailler sur les marchés, en grande surface ou dans sa propre boutique. 

Comme un poisson dans l’eau
Bien évidemment, le métier demande une grande connaissance de toutes les races de poissons. De plus, ce professionnel doit être capable d’identifier les produits de qualité d’un simple coup d’œil, que ce soit des poissons blancs ou des fruits de mer ! Le respect de la chaîne du froid et de l’hygiène sont très importants pour garantir la fraîcheur de sa marchandise. Enfin, en tant que commerçant, le poissonnier se doit d’être un très bon gestionnaire afin de vendre au meilleur prix et optimiser ses stocks.

Qui deviendra grand
Dans beaucoup de secteurs, des carrières peuvent rapidement se terminer en queue de poisson. Mais c’est loin d’être le cas dans la poissonnerie ! Que ce soit en boutique ou sur les marchés, cette profession est toujours à la recherche de bras à former. Cela offre de nombreuses opportunités pour les jeunes passionnés. Et quand ces derniers acquièrent une certaine expérience avec les années, ils peuvent devenir chef de rayon en grande surface, ou créer leur propre entreprise.

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Cuisinier en desserts : la cerise sur le gâteau

Rester assis devant un ordinateur toute la journée, ce n’est pas de la tarte pour celui qui aime faire de ses mains. Mais en pratiquant le métier de cuisinier en desserts, vous allez savourer votre carrière avec délectation ! Pour cela, il faut d’abord un CAP cuisinier pour se spécialiser ensuite. Alors, si vous en avez déjà l’eau à la bouche, lisez la suite.

Un métier pur sucre
Au sein d’un restaurant, le cuisinier en desserts fait partie de la brigade en cuisine. Comme son nom l’indique, il s’occupe spécifiquement de la préparation des desserts. Gâteaux, viennoiseries, entremets, pâtisseries, glaces… Chaque commande est importante pour lui. C’est pourquoi il s’assure de leur suivi. De plus, il est responsable de la gestion de son stock d’ingrédients. Il doit donc les approvisionner et effectuer le contrôle de la qualité et de la conservation. 

La recette du succès
Afin de mener sa tâche à bien, ce professionnel se doit de connaître nombre de recettes sur le bout des doigts. Des ingrédients aux différents modes de cuisson, le cuisinier en desserts est capable de sublimer ces plaisirs sucrés pour le bonheur des convives. Toujours prêt pour le coup de feu, il est doté d’une bonne condition physique et d’un souci indéfectible pour la qualité et l’hygiène. 

Chacun sa part du gâteau
Dans beaucoup de secteurs, dès qu’il s’agit d’obtenir de l’avancement, il faut casser du sucre sur le dos de son voisin… Quant au cuisinier en dessert, c’est une autre affaire. En effet, seul son travail lui permet de gravir les échelons en tant que jeune passionné. Les conditions restent difficiles, avec en plus des horaires décalés, mais le jeu en vaut la chandelle. Car avec quelques années d’expérience, ces derniers peuvent devenir chef. Et certains peuvent même ouvrir leur propre établissement.

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Gestionnaire administratif : un projet bien ordonné

Quand certains se perdent dans leurs études, d’autres gèrent leur avenir de la meilleure manière. Avec le métier de gestionnaire administratif, l’organisation de l’entreprise devient votre vraie force ! Alors, si vous avez la passion pour les chiffres et que le vocabulaire administratif vous anime, lisez la suite.

La passion de la gestion
Qu’elle soit artisanale ou non, chaque entreprise a une existence administrative. Et c’est là que le gestionnaire administratif intervient. Fonction transversale par excellence, ce professionnel remplit des missions aussi diverses que variées. Classement et archivage des documents, gestion des dossiers, rédaction des comptes-rendus de réunion, traitement du courrier… Autant de missions dont toutes les sociétés ont besoin pour assurer leur pérennité, et être prises au sérieux par leurs clients.

Un métier essentiel
Loin d’être un second rôle, le gestionnaire administratif a besoin de rigueur et de connaissances solides pour assurer ses tâches au quotidien. Ce professionnel est avant tout polyvalent et à même de travailler en autonomie. En effet, pour gérer l’activité de l’entreprise correctement, il faut connaître toutes ses spécificités administratives, ses dossiers transversaux, ainsi que les besoins de ses dirigeants. Capable de résister à la pression, ses qualités relationnelles, sa maîtrise de l’informatique et de l’anglais sont des atouts au quotidien.

Un avenir tout tracé
En arrivant sur le marché du travail, un jeune peut intégrer une entreprise dans le secteur qui l’intéresse, et faire le choix de s’y spécialiser par la suite. En effet, chaque poste est très différent d’une société à l’autre et peut offrir de nombreuses opportunités d’évolution. D’ailleurs, avec quelques années d’expérience, il est possible de devenir responsable administratif.

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Barman : à la santé de votre avenir !

Plutôt que de rester toute votre vie derrière un bureau, passez-la derrière un bar ! Avec la profession de barman, vous êtes certain de ne jamais vous ennuyer. Alors, si ce métier vous intéresse, lisez la suite. Vous allez boire du petit lait.

Le joie du service
Comme vous le savez sûrement déjà, un barman est un professionnel de la restauration qui prépare une multitude de boissons. Qu’il travaille dans un hôtel, une boîte de nuit, ou un restaurant, il peut préparer des cocktails, avec ou sans alcool, plus ou moins élaborés. Il sert également de la bière, du café ou des softs suivant la commande apportée par le serveur. Mais ce que vous ignorez peut-être, c’est qu’il doit gérer l’approvisionnement de son bar et s’occuper également de l’encaissement. C’est donc une profession très complète.

Un cocktail détonnant !
On n’arrive pas au métier de barman par hasard. C’est une profession qui vient souvent d’une passion pour la création de recettes originales. De fait, il est nécessaire de posséder un certain sens artistique, mais également, une bonne mémoire afin de connaître un grand nombre de cocktails. Précision et minutie sont importantes afin d’atteindre un certain degré de maîtrise. Et bien entendu, des qualités de gestionnaire sont indispensables pour tenir la caisse et gérer les stocks.

Un avenir sans modération
Quand il commence dans la restauration, un jeune barman travaille dans des établissements de petite ou de moyenne importance. Mais avec quelques années d’expérience, il peut s’orienter vers des enseignes plus luxueuses. Et s’il complète sa formation, le métier de sommelier lui est également accessible. 

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Ébéniste : un projet haut de gamme

Pendant que certains se perdent durant leurs études, d’autres font feu de tout bois. En effet, l’ébénisterie a le vent en poupe, c’est pourquoi il faut être très motivé pour accéder à ce métier d’art. Avec le retour en grâce des matériaux nobles, de nombreuses opportunités peuvent s’offrir à ceux qui veulent être artisans de leur avenir. Envie d’en savoir plus ? En lisant la suite, vous allez faire plus que sauver les meubles.

L’art et la matière
Le métier d’ébéniste est cousin de celui de menuisier. Tous deux travaillent le bois, mais pour des réalisations différentes. Alors, que le second créer des fenêtres, des escaliers ou d’autres équipements de la maison, le premier produit ou restaure des meubles. Pour cela, il choisit les essences de bois, travaille à partir de documents techniques et conçoit dans son atelier une pièce unique ou un prototype destiné à une fabrication en série. Carbonne, résine, matières biosourcées… Cette spécialité ne se limite plus seulement au bois. L’innovation est un moteur puissant qui a permis au domaine de l’ébénisterie de se renouveler et de trouver de nouveaux leviers de croissance.

Un professionnel sans langue de bois
Habile de ses mains, bon dessinateur et doté d’une patience à toute épreuve, l’ébéniste est un professionnel complet. Ses compétences sont variées et lui demandent d’être très rigoureux, précis dans ses gestes et de connaître autant les techniques de fabrication que les différents styles de mobilier. Bien entendu, parce qu’il faut travailler debout, le métier nécessite une bonne condition physique. 

Une évolution commode
Alors, qu’il faut parfois toucher du bois pour espérer évoluer dans certains secteurs, l’ébénisterie offre de nombreuses possibilités. Avec quelques années d’expérience et un bon réseau, il est possible de se mettre à son compte ou devenir chef d’atelier.

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Technicien après-vente : révisez votre avenir

Dans un garage, il y a de nombreux métiers. Alors, pourquoi parler de voie sans issue ? Spécialisé dans la maintenance préventive, le technicien après-vente est le meilleur allié du conducteur. Et parce qu’il faut ménager sa monture pour aller loin, cette spécialité ne connaît pas la crise. Vous souhaitez démarrer votre carrière sur les chapeaux de roues ? Lisez la suite pour en savoir plus.

Le service avant tout
Parce que la satisfaction client est moteur dans le secteur de la maintenance automobile, le technicien après-vente occupe une place centrale dans le garage. Pour effectuer la révision d’un véhicule, il contrôle, diagnostique et remet en état les différents éléments mécaniques, électroniques et électriques. Frein, moteur, amortisseur… Toutes les pièces d’usure sont passées au crible pour mieux garantir la pérennité du véhicule et la sécurité du conducteur. Si quelque chose doit être remplacé, il établit un devis afin de le soumettre au client. 

Savoir ouvrir l’œil
Ce métier demande d’avoir une connaissance de toutes les parties du véhicule. Il faut donc posséder des compétences variées, et surtout, être vigilant à ne rien laisser passer. Patience, observation, méticulosité sont d’un grand secours pour exercer cette profession, mais pas uniquement. Il est nécessaire d’être habille de ses mains pour remplacer les pièces, et de posséder une bonne résistance physique pour travailler dans des positions pas toujours très confortables. 

Pas une voie de garage
Le secteur de la maintenance automobile est toujours en recherche de jeunes talents. Alors, pendant que certains ont beaucoup de mal à trouver un emploi, le technicien après-vente roule des mécaniques ! Si un jeune suit la formation d’expert après-vente, il peut travailler sur des véhicules thermiques, électriques ou hybrides. Et avec quelques années d’expérience, il peut devenir chef d’atelier ou ouvrir son propre garage.

Découvrez les différents diplômes de technicien après-vente et technicien expert après-vente dans nos Centres de Formation situés à Sainte-Luce-sur-Loire, Angers et la Roche-sur-Yon. Rendez-vous sur www.urmapaysdelaloire.fr pour tout savoir.

Portrait : la mobilité à l’international de Lucas Lanoué

L’apprentissage donne le goût du voyage ! Après un Bac Pro boulanger dans le Centre de Formation de l’URMA à Laval, et un BP en apprentissage dans notre CFP à Sainte-Luce-sur-Loire, Lucas Lanoué à décidé de faire ses bagages pour partir travailler en Espagne en 2019. À maintenant 21 ans, il exerce en tant que salarié à Stockholm !

Dans quelle entreprise as-tu travaillé ?
L.L “À la fin de ma formation, j’ai eu l’opportunité de faire un Erasmus pro de 6 mois. Je suis donc parti en Espagne, dans la ville de Vilanova i la Geltrú en Catalogne, pour travailler en tant qu’apprenti dans la boulangerie L’Espiga d’Or de Jordi Morrera.”

Comment s’est passé ton séjour ?
L.L “Je me suis vite intégré à l’entreprise, son rythme de vie et à l’Espagne en général. Cela m’a permis d’avoir de plus en plus de responsabilités au sein de l’équipe. J’ai ainsi pu occuper différents postes rapidement et devenir très polyvalent. Cependant, j’ai passé la plupart du temps à travailler de nuit entre 2h et 10h du matin… Le moment où l’on cuit la production de pain en non-stop ! Cela représentait beaucoup de contraintes au niveau physique, sommeil et social…”

Qu’as-tu fait ensuite ?
L.L “À la fin du contrat Erasmus, j’ai demandé à être employé au moins jusqu’à la fin du bail de mon appartement. Je suis donc resté dans l’entreprise jusqu’en avril 2020. Puis, j’ai été contraint de quitter l’Espagne pour rentrer en France me confiner.”

Que retiens-tu de cette expérience ?
L.L “J’ai rencontré des collègues, des amies, des personnes formidables qui m’ont très bien accueilli dès mon arrivée. Je me sentais très à l’aise avec eux. On est même allé en boîte de nuit avec les collègues et le patron à peine 1 mois après mon arrivée ! Je tire beaucoup de choses positives de cette aventure, et aussi des leçons. Évidemment, j’ai perfectionné mon espagnol. Mais j’ai également appris à travailler des blés différents de ceux cultivés en France, à utiliser différents levains, à cuire avec un four à bois… De plus, j’ai pu acquérir quelques notions de meunerie grâce à un moulin dans le laboratoire. En bref, j’ai découvert une nouvelle culture, une nouvelle gastronomie… La liste est longue !”

Où en es-tu aujourd’hui ?
L.L “Actuellement, je suis employé en CDI à Stockholm. J’ai enchaîné avec cet emploi car j’avais encore envie de voyager, de découvrir une nouvelle culture, et de m’inspirer un maximum. Finalement, je continue à apprendre chaque jour comme si ma formation ne s’arrêtait jamais.”

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui souhaite travailler à l’étranger ?
L.L “On a un métier en or, qui ne demande qu’à être partagé ! Alors, ouvrons-nous au monde, à des gens passionnés qui seront toujours ravis de rencontrer des jeunes engagés dans ce métier ! Il ne faut jamais rester sur ses acquis. On doit se mettre en danger parfois, car ça finit par payer !”

Rendez-vous sur www.urmapaysdelaloire.fr pour découvrir la formation en alternance.

Chocolatier-confiseur : que du plaisir !

Alors que certains perdent goût pour leur travail après quelques années, le chocolatier-confiseur se fait toujours plaisir. Ici, pas de tableurs excel insipides ! Seulement des tablettes, des sucettes et autres délicieuses spécialités sucrées. Vous avez déjà l’eau à la bouche ? Si vous êtes accro au chocolat, lisez la suite. 

Vous avez la fève !
Comme son nom l’indique, le chocolatier-confiseur est un spécialiste de la fabrication de douceurs chocolatées ou sucrées. En tant qu’artisan, il s’occupe de toutes les étapes de la production : de la sélection des matières premières, jusqu’à la mise en vente, en passant par la préparation, la cuisson, la décoration et le conditionnement. S’il travaille au quotidien dans l’odeur enivrante du chocolat, il n’en reste pas moins responsable du respect des règles d’hygiène au sein de son atelier. Donc, en plus de la maîtrise des techniques de tempérage ou d’enrobage, il veille également à l’entretien des appareils et des locaux. Il faut bien garder cela en tête.

Un professionnel tout sucre
Puisqu’il travaille avec de nombreux ingrédients différents, le chocolatier-confiseur se doit d’avoir de bonnes connaissances en cuisine. Sa dextérité et son sens créatif lui sont d’une grande aide dans la réussite de ses tâches quotidiennes. Formes, goûts et couleurs lui permettent de fidéliser sa clientèle avec des recettes originales ou traditionnelles. Donc un bon sens du contact est un plus pour mieux vendre.

Un avenir 100% cacao
Un jeune apprenti peut travailler dans une chocolaterie industrielle ou se former chez un artisan. Il faut simplement savoir que c’est un métier lié aux événements saisonniers et le chocolatier-confiseur est amené à travailler pendant les fêtes. Avec quelques années d’expérience, il est possible d’ouvrir sa propre boutique ou de devenir chef de laboratoire dans l’industrie.

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