Portrait : l’alternance de Justine Rambaud

Tout juste diplômée d’un BTS Gestion de la PME effectué à l’URMA Vendée, Justine Rambaud continue son cursus en alternance avec un Bachelor Marketing Commerce. Elle nous fait part aujourd’hui de son expérience et de ce qu’elle en retient.

Quel est ton parcours ?
J’ai 21 ans et je suis diplômée d’un BTS Gestion de la PME. J’ai réalisé mon alternance dans le garage automobile M.D.B AUTO 85 à Mouilleron-le-Captif. Ensuite, j’ai décidé de continuer mes études avec un Bachelor Marketing Commerce, toujours en alternance, en tant que chargée de communication pour l’école des Établières de Challans.

Comment se passe le travail au Centre de Formation ?
On est en autonomie presque tout le temps, mais on peut également faire du travail en groupe avec des études de cas à rendre. On est amené à travailler énormément sur nos ordinateurs, avec des logiciels comme Excel et EBP. On apprend à s’en servir pendant toute la période de la formation. Quant à nos enseignants, ils sont issus du monde professionnel. Leur expérience est très utile pour nous. Leur vécu nous permet de savoir ce qui peut se passer en entreprise.

Dans quel état d’esprit faut-il être quand on cherche une entreprise ?
Pour être recruté, il est nécessaire de privilégier la rencontre en face à face. Les emails ou les appels téléphoniques ne suffisent pas. Et puis, il faut conserver sa motivation même après plusieurs refus ou en cas d’absence de retour. Personnellement, je conseille d’envoyer un maximum de candidatures tout en suivant leur évolution méthodiquement. Car si une entreprise ne répond pas, il ne faut pas hésiter à la relancer.

Que dirais-tu à un jeune qui hésite entre l’alternance et une autre formation ?
L’alternance, c’est le meilleur moyen pour mettre un pied dans le monde du travail, parce qu’on est dans le concret. C’est un vrai plus pour notre avenir professionnel. Le fait d’entrer dans la vie active consolide les notions apprises en cours, et de comprendre plus rapidement. En partageant son temps entre l’entreprise et le Centre de Formation, on acquiert de nombreuses compétences tout au long de l’année. De plus, on est considéré comme des adultes et on a des responsabilités.

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Portrait : la mobilité à l’international d’Arthur Miché

Suite à son BTS mécanique automobile en apprentissage, Arthur Miché part effectuer un stage en mobilité Erasmus au Royaume-Uni. Pendant 6 mois, il travaille dans un garage situé à Farnham, à 45 minutes de Londres.

Où en es-tu aujourd’hui ?
A.M “Je viens de terminer un stage de 6 mois en mobilité Erasmus dans un “petit” garage familial près du centre de Farnham, une ville médiévale de 70 000 habitants. L’environnement est plutôt aisé et il y a beaucoup de propriétaires de gros véhicules. J’ai donc eu la chance de travailler sur de très belles voitures telles que des Porsche, Aston Martin et Land Rover.”

Peux-tu nous décrire ton entreprise d’accueil ?
A.M “Ce fut une fabuleuse découverte. Le garage Hawthorn engineering, dans lequel j’ai travaillé, porte le nom d’un célèbre pilote de Formule 1, Mike Hawthorn. Il a été fondé par le père de ce dernier au début du 20ème siècle. Par le passé c’était un concessionnaire TVR, et aujourd’hui, le garage est spécialisé dans les véhicules de luxe et de sport.”

Comment s’est passé ton séjour ?
A.M “J’ai eu la chance de partager les habitudes et la culture d’une famille anglaise, qui sont assez similaires d’une française en réalité. Les seuls points pouvant faire un peu peur au début sont les habitudes alimentaires, le rythme des journées, et bien évidemment, la barrière de la langue. En dehors du temps de travail, j’ai tout de même profité des paysages anglais et écossais tels que la baie de Poole Harbour, juste en face de Cherbourg. Donc ce stage m’a aussi permis d’explorer un nouveau pays.”

Qu’as-tu pensé de ton quotidien dans l’entreprise ?
A.M “En Angleterre, j’ai découvert une ambiance de travail très différente de celle que j’ai connue en France. J’ai aussi beaucoup travaillé, en moyenne 9,5 heures par jour avec seulement 30 minutes pour manger, ce qui donne des semaines de 45 heures. Mais le rythme au quotidien n’est pas du tout le même. Je dirais que la charge de travail est semblable à celle d’un garage français, ce qui offre des “tea time” assez souvent.”

Que retiens-tu de cette expérience ?
A.M “En plus de vivre une formidable aventure humaine, le programme Erasmus m’a permis de compléter mon expérience professionnelle post apprentissage en BTS. Pendant mon stage j’ai eu la chance de travailler avec des collègues vraiment géniaux. Je pense que c’est l’un des gros points forts de mon séjour. Comme on peut le voir sur la photo, on s’est bien amusé à changer des turbos sur les Land Rover !”

Que peux-tu dire à quelqu’un qui souhaiterait travailler à l’étranger ?
A.M “Le programme Erasmus a été une expérience extraordinaire pour conclure mon apprentissage de BTS. Cela m’a permis de valider mes connaissances professionnelles et de les enrichir. L’immersion complète dans le pays est aussi la meilleure manière d’apprendre la langue. Aujourd’hui je ne suis évidemment pas bilingue, mais je peux comprendre et avoir une conversation en anglais.”

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Portrait : Adrien Bazoge, champion de France de boulangerie

Adrien Bazoge se lance en apprentissage dès l’âge de 16 ans. Il commence par un CAP boulanger puis un CAP connexe en pâtisserie. Ensuite, il continue avec un BP boulanger et un BTM pâtissier. Adrien effectue également un BM Encadrant d’Entreprises Artisanales pendant les cours du soir tout en étant salarié. Depuis 7 ans, Adrien travaille en tant qu’enseignant à l’URMA Sarthe, et à maintenant 32 ans, il est sacré champion de France de boulangerie 2021 avec son équipe.

Pour quelle raison avez-vous décidé de participer à cette compétition ?
A.B “Depuis que je suis dans la boulangerie, j’ai toujours participé aux différentes compétitions. Le concours de Meilleur Apprenti de France, les Olympiades des métiers… Pour moi, c’est une manière d’évoluer, de toujours faire mieux, et de toucher la perfection. Le challenge, ça permet de s’entraîner, de s’améliorer… Avec notre équipe, on a fait 40 week-ends d’entraînement. C’est la clé du succès. Comme ça, on peut s’adapter plus facilement le jour J en cas d’imprévu.”

En quoi consistent les épreuves ?
A.B “En coupe de France, ce sont des équipes de 3 personnes. Une est au pôle pain et en produit 6 ou 7 sortes. Une autre est à la viennoiserie pour faire des croissants, des pains au chocolat et une spécialité régionale. Et enfin, la dernière est au pôle décor et traiteur. Elle fabrique une pièce décorée avec de la pâte morte, donc sans levure, en créant des formes et en ajoutant des couleurs.”

Ça représente quoi pour vous cette victoire en coupe de France ?
A.B “Il y a 2 grandes compétitions en boulangerie. Le concours du Meilleur Ouvrier de France se déroule en individuel, alors que la coupe de France se fait en équipe. Donc, il faut que nos 2 autres collègues soient toujours au top pour réussir. Il y a un esprit d’entraide et c’est ce que j’ai aimé dans cette compétition. S’il y en a un qui rencontre une difficulté, on va tout de suite lui donner un coup de main.”

Cette compétition porte-t-elle les valeurs de l’artisanat ?
A.B “Oui complètement. C’est ce qui représente le mieux l’artisanat. L’excellence, l’entraide, le dépassement de soi… Quand on est arrivé, on était persuadé d’avoir tout prévu. Et puis on a vu que les autres équipes ont produit des choses auxquelles on n’avait pas pensées. Ça donne envie d’aller encore plus loin avec d’autres concours. De plus, on a appris de nouvelles techniques.”

Ce sont ces valeurs que vous voulez transmettre à vos apprenants ?
A.B “C’est exactement ça. Je forme en BP et c’est vraiment de l’entraide. J’apprends à mes jeunes tout ce que je sais et ils le savent très bien. S’ils ont besoin de n’importe quelle recette, n’importe quelle technique… Je leur montre tout ce que je sais faire. C’est le but en tant qu’enseignant.”

Pensez-vous que les apprentis ont fait le bon choix pour leur avenir professionnel ?
A.B “Un jeune qui travaille bien et qui a envie trouvera forcément un emploi. Il y a plein de postes partout, et pour moi, l’apprentissage reste le meilleur parcours. Les apprentis sont tout à fait opérationnels à la fin de leur cursus.”

Quelles vérités sur l’apprentissage voulez-vous que tout le monde sache ?
A.B “Il n’y a pas que des personnes qui n’aiment pas l’école dans nos Centres de Formation. On voit des jeunes en Bac général qui reviennent vers l’apprentissage par choix. Ils étaient faits pour ça tout simplement. De plus, il n’y a pas que le CAP. Il y a des mentions, des BP, des brevets de maîtrise… On peut faire 10 ans d’étude après le brevet en boulangerie-pâtisserie ! Quasiment tous les professionnels que je connais sortent de l’apprentissage.”

L’alternance est-il le meilleur moyen de donner du sens à ses études ?
A.B “Pour moi l’avantage, c’est qu’on apprend un métier tout en continuant l’école. Il ne faut pas arrêter en 3ème, parce qu’il y a encore beaucoup de notions à apprendre. D’ailleurs, on voit beaucoup de jeunes qui y reprennent goût grâce à l’apprentissage. J’en suis la preuve.”

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Portrait : la mobilité à l’international de Lucas Lanoué

L’apprentissage donne le goût du voyage ! Après un Bac Pro boulanger dans le Centre de Formation de l’URMA à Laval, et un BP en apprentissage dans notre CFP à Sainte-Luce-sur-Loire, Lucas Lanoué à décidé de faire ses bagages pour partir travailler en Espagne en 2019. À maintenant 21 ans, il exerce en tant que salarié à Stockholm !

Dans quelle entreprise as-tu travaillé ?
L.L “À la fin de ma formation, j’ai eu l’opportunité de faire un Erasmus pro de 6 mois. Je suis donc parti en Espagne, dans la ville de Vilanova i la Geltrú en Catalogne, pour travailler en tant qu’apprenti dans la boulangerie L’Espiga d’Or de Jordi Morrera.”

Comment s’est passé ton séjour ?
L.L “Je me suis vite intégré à l’entreprise, son rythme de vie et à l’Espagne en général. Cela m’a permis d’avoir de plus en plus de responsabilités au sein de l’équipe. J’ai ainsi pu occuper différents postes rapidement et devenir très polyvalent. Cependant, j’ai passé la plupart du temps à travailler de nuit entre 2h et 10h du matin… Le moment où l’on cuit la production de pain en non-stop ! Cela représentait beaucoup de contraintes au niveau physique, sommeil et social…”

Qu’as-tu fait ensuite ?
L.L “À la fin du contrat Erasmus, j’ai demandé à être employé au moins jusqu’à la fin du bail de mon appartement. Je suis donc resté dans l’entreprise jusqu’en avril 2020. Puis, j’ai été contraint de quitter l’Espagne pour rentrer en France me confiner.”

Que retiens-tu de cette expérience ?
L.L “J’ai rencontré des collègues, des amies, des personnes formidables qui m’ont très bien accueilli dès mon arrivée. Je me sentais très à l’aise avec eux. On est même allé en boîte de nuit avec les collègues et le patron à peine 1 mois après mon arrivée ! Je tire beaucoup de choses positives de cette aventure, et aussi des leçons. Évidemment, j’ai perfectionné mon espagnol. Mais j’ai également appris à travailler des blés différents de ceux cultivés en France, à utiliser différents levains, à cuire avec un four à bois… De plus, j’ai pu acquérir quelques notions de meunerie grâce à un moulin dans le laboratoire. En bref, j’ai découvert une nouvelle culture, une nouvelle gastronomie… La liste est longue !”

Où en es-tu aujourd’hui ?
L.L “Actuellement, je suis employé en CDI à Stockholm. J’ai enchaîné avec cet emploi car j’avais encore envie de voyager, de découvrir une nouvelle culture, et de m’inspirer un maximum. Finalement, je continue à apprendre chaque jour comme si ma formation ne s’arrêtait jamais.”

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui souhaite travailler à l’étranger ?
L.L “On a un métier en or, qui ne demande qu’à être partagé ! Alors, ouvrons-nous au monde, à des gens passionnés qui seront toujours ravis de rencontrer des jeunes engagés dans ce métier ! Il ne faut jamais rester sur ses acquis. On doit se mettre en danger parfois, car ça finit par payer !”

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Portrait : la mobilité à l’international de Thomas Bréchaud

L’apprentissage peut emmener les jeunes très loin… Jusqu’en Angleterre pour certains ! C’est le cas de Thomas Bréchaud, à tout juste 20 ans. Post apprenti boulanger à l’URMA Mayenne, il effectue un stage Erasmus + de 6 mois, tout en travaillant en entreprise.

Dans quelle entreprise travailles-tu ?
T.B “Je suis employé en tant que boulanger chez MOKOKO coffee and bakery, à Portishead. Nous sommes 3 derrière les fourneaux et tout se fait de manière artisanale. Ici, l’ambiance de travail est complètement différente de ce que j’ai connu : c’est beaucoup plus détendu ! Cependant, la vie de tous les jours n’est pas si différente qu’en France, même en étant en collocation avec des Anglais, ou des personnes de différentes nationalités.”

Qu’attends-tu de ce stage ?
T.B “Avant de partir, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Je voulais simplement tenter cette expérience pendant 6 mois. Ma seule crainte était qu’aucun autre Français ne soit dans les environs. Finalement, nous sommes 3 à proximité de Bristol.”

Comment se déroule ton séjour ?
T.B “Malgré les réglementations dues à la pandémie, les boulangeries sont toujours ouvertes. Donc, le travail reste le même, voire un peu plus conséquent. Nous sommes arrivés 2 semaines avant la mise en place des mesures sanitaires. Aussi, nous avons pu aller dans les bars et les restaurants avant leur fermeture. Après, c’était un peu plus difficile de profiter du séjour en dehors du travail… On a pu faire quelques soirées chez nous, même si c’est beaucoup moins bien que de sortir. Enfin, visiter certaines villes reste possible, mais rien n’est ouvert.”

Que retiens-tu de cette expérience ?
T.B “Elle m’a appris que la barrière de la langue n’est pas un problème. De plus, il existe des cultures de travail différentes et plus souples.”

Que comptes-tu faire ensuite ?
T.B “Je ne sais pas encore ce que je ferai après. Je n’ai pas pris de décision particulière pour le moment… Cependant, j’ai eu une proposition pour rester encore 2 mois supplémentaires en stage. Et peut-être même encore plus longtemps ! Donc, à suivre…”

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Portrait : la mobilité à l’international de Camille Cavoleau

L’apprentissage, c’est très bien. Et c’est même encore mieux à l’étranger ! À tout juste 20 ans, Camille Cavoleau a tenté l’expérience après l’obtention de son BTS Assistante de Gestion PME/PMI à l’URMA Vendée. Elle a passé un an à Manchester dans le cadre d’un stage Erasmus +.

Dans quelle entreprise as-tu travaillé ?
C.C “J’ai effectué un stage chez PriveDoc en tant qu’assistante marketing. Cette entreprise a conçu une application qui permet de consulter ou d’échanger des messages en ligne avec un médecin. Et j’ai pu travailler avec des personnes de nationalités différentes.”

Qu’attendais-tu de ce stage ?
C.C “J’ai voulu effectuer un stage Erasmus + parce que j’aime les langues étrangères. Suite à mon bac L, je voulais améliorer mon anglais et vaincre ma timidité. Et sachant que je ne pouvais pas me permettre financièrement de partir à l’étranger en tant qu’étudiante, la bourse était importante pour moi.”

Comment as-tu préparé ton départ ?
C.C “Pour le contrat, la demande de bourse et la recherche de stage, j’ai été aidée par Thierry Garel, référent mobilité à l’URMA Vendée. D’un autre côté, ma professeure d’anglais Mme Mallard m’a soutenu pour ma candidature, avec notamment la rédaction de mon CV et de ma lettre de motivation. Enfin, j’ai trouvé mon stage et mon logement en colocation par moi-même. 

Comment s’est déroulé ton séjour ?
C.C “J’ai dû m’adapter à mon nouvel environnement. J’ai pris des leçons d’anglais sur place dans une école offrant des cours gratuits. Mais pendant le confinement, j’étais en télétravail. Les 3 premiers mois ont été difficiles parce que j’avais plus de tâches et de responsabilités. De plus, l’université était fermée, et j’étais moins en contact avec les autres étudiants. En bref, je ne connaissais personne à mon arrivée et j’ai dû me débrouiller toute seule.

Que retiens-tu de cette expérience ?
C.C “J’ai évolué en 1 an ! Je suis plus autonome, plus confiante, moins timide, et je m’adapte plus facilement. L’école est mon meilleur souvenir, car je me suis fait des amis dans le monde entier. J’ai même découvert des pays que je ne connaissais pas ! Il ne faut pas hésiter à engager la conversation, c’est un bon exercice. Par ailleurs, je ne suis toujours pas habituée aux anglais qui vous appellent “darling”, “sweetheart”, ou “my love” sans vous connaître. Mais, c’est juste une salutation amicale, même si cela peut surprendre.”

Que comptes-tu faire ensuite ?
C.C “Je ne sais pas encore si je veux reprendre une formation l’année prochaine, mais je souhaite pratiquer l’anglais quotidiennement. Mon entreprise m’a proposé un emploi en freelance et à distance. Donc, je peux travailler n’importe où, que ce soit en France ou à Manchester… J’ai répondu positivement à cette offre, mais je n’ai pas encore reçu de contrat.

Quel conseil donnerais-tu pour travailler à l’étranger ?
C.C “Je conseille à tous les jeunes en Erasmus d’utiliser les groupes Facebook “Français à l’étranger”. Cela m’a beaucoup aidé. Il n’y a pas de questions bêtes et on s’entraide entre expatriés. Ainsi, on n’est jamais seul. Il y a aussi l’application Meetup qui m’a permis de faire des activités extérieures et de rencontrer du monde. Par ailleurs, il ne faut pas avoir peur de faire des erreurs en anglais, car les gens vous aident ! Enfin, il ne faut pas hésiter à contacter ses référents en cas de problème.

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Devenir boulanger : l’aventure de l’apprentissage de Louna

Se lever au petit matin pour pétrir et cuire de belles baguettes, c’est le quotidien que Louna a choisi de vivre en apprentissage dans une boulangerie nantaise. Plutôt que de se languir en suivant des études longues comme un jour sans pain, elle a décidé de s’engager dans une formation professionnalisante et délicieuse. Pour vous, elle raconte son expérience de l’apprentissage et ce qu’elle en retire aujourd’hui !

Du pain bénit pour Louna !
Se lever aux aurores n’est pas un problème pour Louna. Surtout depuis qu’elle est en CAP Boulanger et partage son temps entre les cours et la boutique. C’était un peu difficile au début, nous confie-t-elle, mais la passion du métier la motive à sortir du lit chaque matin. Elle préfère largement être derrière les fourneaux que de s’ennuyer dans un amphi. Ainsi, Louna a la conviction qu’elle fait quelque chose de bon pour la société… de bon et de croustillant !

Bon, comme du bon pain !
Dans l’arrière boutique, Louna a toujours du pain sur la planche. On est très loin du bullshit job ! Baguettes, pains complets, au son, au seigle ou viennoiseries… Elle estime que pour faire ce métier, il faut être habile de ses mains, mais aussi être rigoureux, avoir un sens de la présentation pour donner envie, et aimer le contact humain afin de fidéliser la clientèle.

Ce qu’il faut savoir pour ne pas être dans le pétrin
En plus des horaires décalés et de la chaleur des fours, Louna nous prévient que le métier de boulanger demande une bonne condition physique. Elle concède qu’elle n’a eu aucun mal à trouver un maître d’apprentissage. Son projet professionnel et ses objectifs étaient très clairs dans sa tête. Cela l’a beaucoup aidé à démontrer sa motivation. Alors, si vous avez envie de vivre une expérience riche en saveurs, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

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Devenir apprenti : les conseils de Romuald apprenti coiffeur

Romuald apprend le métier d’artisan coiffeur en partageant son temps entre la pratique dans un salon et les cours théoriques. Pour vous, il livre ses conseils afin de vous aider à réussir votre apprentissage.

1. Choisir le salon qui vous correspond
Trouver une entreprise et un maître d’apprentissage est obligatoire afin de devenir apprenti. Pour y arriver, Romuald a sélectionné plusieurs salons qui lui faisaient envie. C’est une clef importante qui permet d’apprendre son métier avec passion, et partager la même vision que ses mentors. C’est pourquoi, il a soigné son dossier professionnel afin de maximiser ses chances d’être pris en charge par un artisan coiffeur aussi enthousiaste que lui.

2. Aimer le contact humain
Pour lui, la profession d’artisan coiffeur est un métier de représentation. Il entre en scène chaque matin et met tout en œuvre pour que ses clients passent un moment agréable en sa compagnie. Et cela ne se limite pas à faire la conversation, puisqu’il accueille, écoute, conseille et bichonne chaque personne passant entre ses mains. La satisfaction client est plus qu’essentielle, car elle permet de se faire un prénom et de se constituer une clientèle fidèle. Pour cela, il faut avoir autant de savoir-faire technique que d’intelligence relationnelle.

3. Être créatif
Ce n’est pas tous les jours que Romuald se voit donner carte blanche pour réaliser la création capillaire de ses rêves… Mais ses conseils sont précieux pour ses clients. Chaque visage est différent et ses ciseaux créent des coiffures qui mettent en valeur la beauté naturelle de chacun, tout en étant à l’écoute de leurs envies. Ce qu’il préfère par-dessus tout, c’est la coiffure de mariage qui lui offre la possibilité d’exprimer pleinement sa créativité.

4. Avoir envie d’entreprendre
Le rêve de Romuald est d’ouvrir son propre salon de coiffure. En effet, il ne se voit pas comme simple garçon coiffeur toute sa vie. Il sait pertinemment que ce métier peut lui offrir de belles perspectives entrepreneuriales. Et même si cela reste une envie très personnelle, celle-ci est partagée par beaucoup d’apprentis de son centre de formation.

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