L’apprentissage souffre encore de plusieurs préjugés. C’est de moins en moins le cas à l’heure actuelle, mais quelques idées préconçues ont la peau dure. D’un certain point de vue, on peut le comprendre. En effet, tous les parents veulent le meilleur pour leurs enfants. Bercés par le discours dogmatique de l’éducation nationale, ils pensent parfois que des études générales sont l’unique chemin à suivre pour réussir. Et pourtant… Quand un jeune a choisi un métier artisanal, l’alternance est un très bon moyen de s’épanouir pour lui. Avec la maturité nécessaire et en se frottant au monde du travail, il acquiert un peu plus qu’un savoir-faire. Il grandit. De plus, à la fin de son parcours dans les Centres de Formation de l’URMA des Pays de la Loire, il a 9 chances sur 10 de trouver un emploi sans même avoir besoin de chercher.
1. C’est une voie d’excellence
Boîte à bac, puis prépa et grande école… Le chemin semble tout tracé pour réussir son avenir professionnel. Cette croyance est profondément ancrée dans notre société. Quand un jeune a de bons résultats à l’école, l’éducation nationale le pousse vers la filière générale sans se soucier de ses envies. Pourtant, l’apprentissage n’est pas une voie de garage que l’on choisit par défaut. Parce que c’est la formation la plus professionnalisante qui soit, c’est une bonne façon d’apprendre un métier manuel pour ceux qui le désirent. En bref, l’alternance ouvre les portes de l’artisanat aux jeunes de la meilleure manière.
“Aujourd’hui on sait que pour bien faire de ses mains il faut une tête bien faite.”
2. C’est un choix
Pour s’engager dans l’apprentissage, il faut être recruté par une entreprise. Avant même d’intégrer un Centre de Formation de l’URMA des Pays de la Loire, l’apprenti entre dans le monde du travail. Donc, il doit être très motivé et avoir un projet professionnel réfléchi. De fait, un jeune ne choisit pas l’alternance par hasard. Dans les grandes lignes, il sait quel métier il veut pratiquer plus tard. Et même si certains ne sont pas encore tout à fait prêts, ce n’est pas grave. Ils peuvent continuer dans la filière générale pendant quelque temps, et se lancer quand leur maturité le permet.
3. C’est gratifiant
Très souvent, une relation fondée sur la confiance se noue entre l’apprenti et son maître d’apprentissage. Chacun remplit sa part du contrat afin que les deux parties soient gagnantes dans l’échange. Pour le maître, cela lui permet de profiter d’une main d’œuvre jeune et volontaire, mais qui a encore besoin d’être formée. Pour l’apprenti, c’est la garantie de maîtriser un savoir-faire. Donc, le jeune prend conscience qu’il a de l’or entre les mains tout en étant rémunéré. C’est un cercle vertueux qui se met en place pour mieux le motiver.
4. Ça fait grandir
Bien entendu, les métiers de l’artisanat demandent un certain investissement personnel de la part de l’apprenti. Parce que ce dernier est considéré comme un véritable salarié au sein de l’entreprise, l’exigence est plus élevée. Il n’est pas un simple stagiaire et son employeur attend des résultats. En étant immergé dans l’artisanat, le jeune apprend également qu’il a des responsabilités. Mais si son savoir-être est exemplaire, alors il acquiert le savoir-faire plus facilement, et se construit en tant que professionnel.
5. C’est un recrutement garanti
Un jeune issu de l’apprentissage fait nettement la différence sur le marché de l’emploi. Parce qu’il n’a pas besoin de formation supplémentaire, qu’il connaît les gestes et les codes de l’entreprise, son profil ne laisse pas les employeurs indifférents. D’ailleurs, beaucoup n’ont même pas besoin de postuler, car ils sont directement intégrés dans leur entreprise d’accueil après l’obtention du diplôme. Dans les Centres de Formation de l’URMA des Pays de la Loire, 89% de nos apprentis se sont insérés professionnellement en 2020. Cet indicateur de performance issu de la certification Qualiopi est la preuve de l’efficacité de notre formation.
Rendez-vous sur www.urmapaysdelaloire.fr pour découvrir la formation en alternance.